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17 ans, comme un automne qui s’en va…
J’me suis assis su’l balcon Pendant qu’les outardes s’en allaient J’me dis qu’leur voyage est long Comme le tien qui, finit jamais.
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Y a de ces soirs d’anniversaires…
J’avais choisi la violence. Ce soir, encore comme bien des soirs, jours, matin, tout le temps finalement. Sous sa forme la plus passive, c’était dans la colère que je vivait. Une violence psychologique auto-affligée. C’était juste plus facile comme ça. Je pouvais choisir d’être content. D’être créatif, même d’avoir l’air heureux. C’est facile dans le
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16 ans, je cherche encore.
Ça faisait une heure que j’étais assis devant l’ordinateur. Une heure à fixer une page blanche.
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15 ans, si on faisait la course?
Le fond de l’air froid aura tôt fait de me geler les mains et les joues, et je ne suis pas équipé pour le vélo hivertomnale, vous savez, Novembre.
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Toi, moi et Pavarotti
C’était une journée comme une autre. Pour tout le monde. Moi, j’étais assis à table, encore, seul. Il y a ces petits moments de solitude qu’on apprend à apprécier.
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La Grande Glissse
Dès les premières glissades, j’ai pu constater la dangerosité du lieu, mais surtout de la fin de cette descente infernale.
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14 ans, toujours faché…
J’hais septembre. En passant devant la bibliothèque je me suis attardé à la bouteille de Scotch. Un Oban, je l’aime bien, il est doux.
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L’Urubu et moi.
C’est donc en observant cette ombre que j’ai parcouru les 2.8 kilomètres de la rue Thomas. Dessinant sans relâche des cercles parfaits en me suivant.
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Un été sans point ni coups sûrs.
1 balle 2 prises, ça sent la soupe chaude pour le numéro 18, première présence au bâton de la saison et déjà il tire de l’arrière… Le lancer… La balle est frappée en flèche… Tout juste hors ligne du côté du troisième but.
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Michel Greco, un peu de tout ça. 